La Coupe du Monde en 32 groupes : Florian Droids (Costa Rica)

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Où il est question de biodiversité, de mer chaude et turquoise, d’ambiances rêveuses et de Pink Floyd sous les tropiques…

A l’ouest, l’Océan Pacifique. A l’est, la mer Caraïbe. Une biodiversité hors du commun. 25% du territoire occupé par des parc nationaux ou des réserves. Pas d’armée. Bienvenue au Costa Rica. 4,6 millions d’habitants et quart-de-finaliste de la Coupe du Monde 2014.

Ils ont dû faire des heureux chez les parieurs, les Ticos. Sortis premier d’un groupe où tout le monde les condamnait d’avance, vainqueurs de la Grèce en huitièmes et éliminés seulement aux tirs au but en quart de finale par les Pays-Bas, les coéquipiers de Navas et de Bolanos ont fait le bonheur de tout un peuple. Leur scène musicale – dans laquelle je me suis plongé avec autant d’enthousiasme que dans une mer chaude et turquoise – a fait le mien. Florian Droids est, sans discussion possible, le groupe qui m’a le plus impressionné.
Formé en 2010 et auteur d’un premier album éponyme sorti en 2011, le quatuor de rock psychédélique sort ces jours-ci, après de longs mois de travail, un nouveau LP intitulé Osos de Agua. A l’écoute des quelques extraits déjà disponibles, Florian Droids, c’est un peu Pink Floyd sous les tropiques. Une odyssée sonore entre mélancolie et psychédélisme, des ambiances rêveuses savamment orchestrées par Pablo Rojas et ses acolytes.

J’ai hâte d’entendre l’album dans son intégralité – il n’est, pour l’instant, sorti qu’en format physique au Costa Rica. Je suis prêt à parier qu’il ne sera pas loin de mon Best Of de fin d’année. Promis, on en reparle dans les semaines qui viennent. En attendant…

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