La Coupe du Monde en 32 groupes : Throes + The Shine (Portugal)

Browse By

Où il est question de claque inaugurale, du rêve de tous les entraîneurs, de combustion spontanée et de se retrouver à poil autour d’une piscine…

Le Portugal n’aura pas fait grosse impression sur la Coupe du Monde 2014. Trop dépendante d’un Cristiano Ronaldo sur une jambe, la sélection lusitanienne ne se sera jamais remise de la claque inaugurale made in Germany. Le Ballon d’Or 2013, guère aidé par ses coéquipiers, aura de nouveau échoué à marquer de son empreinte un grand tournoi international.
Beaucoup de choses auront fait défaut aux Portugais dans leur quête du Graal. Ils auront manqué de force collective, de rythme, de génie créatif. Trois choses qu’on ne pourra pas reprocher à Throes + The Shine.
Tirer le maximum de l’association de joueurs talentueux mais a priori peu complémentaires, c’est le rêve de tous les entraîneurs. Avec Throes + The Shine, la combustion a été spontanée. Au début, il y avait d’un côté le rock noisy de Throes et, de l’autre, le kuduro de The Shine, un genre musical entre zouk, hip-hop et electro, originaire d’Angola. Rien à voir, se serait dit n’importe qui. Sauf les membres des deux groupes, qui décident d’unir leurs forces pour faire du rockuduro. 
Ce mariage sous haute tension de la chaleur et de la puissance emporte tout sur son passage. Rythmes dansants, claviers et guitares saturés, Throes + The Shine balance à tours de bras de la furie estivale. C’est un coup à ce qu’on se retrouve tous à poil à danser frénétiquement autour d’une piscine des Mambos de Outros Tipos

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Afficher les boutons
Cachez les boutons